11 mars 2017
Sur la mezzanine, ouverte sur invitation, un hommage est rendu à la danseuse Muriel Jaër à travers le regard de trois photographes qui l’ont suivie depuis les années 70. Tandis que Max-Yves Brandily fait du corps en mouvement de la danseuse un dessin dans l’espace, mains et corps sont empreints d’une lumière originelle dans les photographies luminescentes d’Étienne Bertrand Weill. C’est une danse purificatrice que convoque Bernard Boisson, à travers un corps devenu flamme.